Plus jamais ça !

Lundi 17

Debout 7h, je fais mon sac pour partir, un taxi vient nous chercher vers 8h30 pour aller au terminal terrrestre prendre le bus de 9h pour Puno.

Whaaa... quelle horreur ... J'ai même pas envie de raconter...

Tout commence avec un accueil de merde, puis le bus pue la mort... mais vraiment hein, j'en avais mal au coeur ! et il part seulement après 10h, et les WC ne fonctionnent pas, et il fait trop chaud : la clim non plus ne fonctionne pas, et le bus s'arrête plusieurs fois... Une horreur à vivre, franchement !

Arrivée à Puno vers 15h30... Or Aréquipa-Puno, c'est 5h nopormalement...La journée est foutue, on ne m'y prendra pas une 2e fois à prendre une compagnie locale...

On va en taxi à ... allez devinez, vous pouvez ! On va dans un bar boire un verre et... aux toilettes ! Ouf ça va mieux ! Puis on va à Pirwa Hostel Bacpackers, la même enseigne que j'avais adoré à Cusco. Je saute sous la douche ! Il fait très froid... je me fais thé sur thé... Vers 19h, on sort et un gars en tee-shirt nous demande pour venir avec nous. Oui, mais dis voir tu viens d'où toi, pour être en tee-shirt ? Et la réponse la plus évidente : d'Alaska !Et c'est pas une blague ... Avant toute chose je rentre dans un magasin pour m'acheter un bonnet et des gants... suis gelée ! L'équation altitude + lac est terrible. Oui, la ville de Puno, c'est une des villes qui borde le Lago Titicaca... Dans la rue on se fait alpaguer pour venir manger dans un resto, com d'hab, sauf que nan, c'est une française qui fait ce boulot, et son menu est vraiment très intéressant. On y va et c'est sans regrets : c'était trop bon ! Voilà, on part vers 22h30, et le temps d'arriver à l'hotel, soit 10 min, la porte est fermée ! On sonne, on frappe, et seulement au bout d'un certain le gars vient nous ouvrir. Puis il nous dit de faire doucement, et je vopis que la salle où il y a internet est fermée... Mouais, rien avoir avec son frère dfe Cusco cet hotel... L'alaskien me prête son ordi... Super, mais le temps de mettre une phoos, ça a pris un temps fou... Alors bon j'abandonne assez vite, tampis.