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Affichage des articles du juin 6, 2010

Viva Sucre

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Vers 7h30, j'arrive les yeux tous collés... Ah, ça faisait longtem,ps que j'avais pas eu un bon bus, une bonne route pour dormir. Il y a du soleil déjà. Je vais en taxi dans un hôtel conseillé par le guide. C'est très joli : une grande cours fleuri avec des tables en pierre surplombée par une grande maison coloniale. La nana me met dans une chambre où il y a déjà une fille. Du coup elle frappe à la porte et la réveille, Salut. c'est une belge, charlotte. On discute, et vers 10h30, on part ensemble au marché où l'on prend un pdj dans une cabane à fruit. On prend une salade de fruits au yaourt : Whou, il y a banane, poire, ananas, pomme, pamplemousse, fraises, pomme, du yaourt liquide et des noix du brésil... un délice ! Je ne sais pas comment je pourrai manger des fruit en France après tout ça! Je prend du pain, du fromage de chèvre, des pâtes complètes et des fruits. Ensuite on se quitte et je vais au point info touristique tenu par des étudiants. J'accepte un t

Adios La Paz

Comme j'ai plus de réveil et que je me suis coucher tard, j'ouvre les yeux vers 10h... Aujourd'hui, je m'en vais. Je commence par payer l'hôtel et mettre mes sacs de côté, puis je file au terminal pour réserver une place dans le bus : 19h30, direction Sucre (prononcez soucré). Vers 14h30 je regarde le match Uruguay-France à l'hôtel. À 16h, c'est l'heure d'une séance remise en forme : massage+manicure+pédicure. Géniale sauf qu'on me colle du verni et que c'est fait n'importe comment, hihi. Je vais chercher ma carte et mes photpos au labo. Youpi, ils ont réussi ! bon, la carte est définitivement hors d'usage dans mon appareil photo, mais tampis. À 19h30, je prend le bus de justesse pour Sucre . c'est cool, j'ai toujours le livre de Delphine, j'avais oublié de lui rendre, mais elle m'avait proposé de le garder de toute façon.

c'est les vacances

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On va se faire un pdj à 100% Natural avec Javier un peu avant 10h puis on se donne rdv pr 20h. Je pars à La Poste pour me renseigner pour envoyer des colis, ensuite je passe dans un centre internet pour vérifierles règles des bagages dans l'avion. Tout ça pour les souvenirs... J'en profite pour faire un peu le blog. Je prends les dates des matchs de la France pour la coupe du monde... Ah ! ça commence demain. Vers 15h, je passe à l'hôtel prendre la carte SD ensorcellée, celle qu'on ne peut plus ouvrir depuis El Gran Poder et je vais au labo qui m'avait proposer d'y récupérer les photos. Ce sera prêt pour demain 17h. Je me pose sur un banc au soleil pour écrire. À 18h, je vais me faire faire une limpieza facial . Et en sortant de là, je commence les achats souvenirs... et les cadeaux quoi ! Vers 20h suis à l'hôtel, je casse croûte et on part avec Javier boire un coup. On rentre dans un bar qui est en fait un salon de billard, c'est rigolo, alors on rest
Quand je me réveille, je me dégage de mon cocon anti-froid, attrappe ma cuisse et regarde si la tique est devenue enlevable. Et la porte s'ouvre, oups pardon ! C'est mon colloc, hier je suis allée au lit tôt, je ne l'avais pas encore vue. Je lui dis qu'il peut rentrer, on discute c'est Javier un espagnol. On se donne rdv pour déjeuner à midi. Je triture la bestiole jusqu'à ce qu'elle cède et je crois bien que j'ai sa tête, youpi ! Vers 11h, je suis à la migration. J'attend pour avoir mon tampon d'autorisation d'entrée en Bolivie. Je dois aller faire une photocopie du passeport et de la déclaration de police. Le policier me demande depuis quand je suis là, je donne la date d'arrivée à La Paz , me suis trompée parce-qu'avanyt j'étais à Copacabana . Tampis. À midi, je retrouve l'espagnol, qui d'ailleurs à habiter en France et parle très bien français. On va au marché pour manger et en chemin je m'achète enfin un sac car j

Youpi, ma liberté

Nous arrivons à La Paz à 13h, salut les copains et je n'ai plus qu'à filer à pieds à l'ambassade... pfff non impossible : c'est trop loin, il y a même une deux voies au milieu des roches. Allez, je vais à l'hôtel. Ben c'est long hein, j'arrive une heure plus tard ! Je récupère mon gros sac dans le local et Mariela me donne un lit dans un dortoire de... deux lits. Elle me prévient que c'est un garçon. Je demande une avance pour vite aller à l'ambassade et je fonce sans même vérifier mes mails, c'est sûr, la CB sera arrivée ! J'arrive, la personne qui s'occupe de ça est en réunion avec Monsieur l'ambassadeur. J'attend dans des gros canapées moelleux... ne pas dormir ça ferait désordre ! Déjà que j'ai mes chaussures de randonnée pleine de boue, et que je pue... Bref, le gendarme arrive et me dit que la nana du consulat veut me voir. Elle me dit qu'on a pu faire mon passeport (ah ben heureusement) et qu'elle sait que le t

pêche au piranha

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À 5h30 nous voilà dans la barque pour écouter les oiseaux qui s'agitent : un concert mémorable ! Quelques singes s'y mettent aussi. Puis 3/4 d'heure plus tard on est au millieu de la brousse pour voir le levé du soleil, exceptionnel ! 8h, de retour au camp où l'on prend un pdj de malade... nan mais sérieux, c'est trop ! Beignets salés+papaye+banane+pamplemousse+crêpes+beignets sucrés... Une heure plus tard, nous voici en équilibre dans notre barque pour pêcher le piranha . Samir est le premier à avoir une prise. Incroyable : il a harponné un poisson sur le côté ! Puis Guillaume en pêche un dans l'oeil... Non mais ça devient dingue ! Mouche, SOS, une tite leçon de pêche...Bon en même temps on a des hameçons énooormes, pour des petits poissons et juste un fil. Au bout c'est de la viande mais plein de poissons viennent grignoté, pas que des piranhas. Moi j'ai beau tirer d'un coup sec, ils lâchent prise à chaque fois... Du coup je nourris toute la r

chasse à l'anaconda

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Vers 8h on est debout et on nous sert le pdj 3/4 d'heure plus tard : hum ! Trop bon, trop copieux, on va exploser. Vers 9h30, après avoir enfilé des bottes, on part en barque pour traquer un animal sans pattes : l'anaconda ! Céline ferme les yeux... En chemin, tout en haut d'un arbre, le guide nous montre un parresseu. C'est génial, sérieusement ça se déplace tellement lentement ! Bon pour ce genre de photo, c'est Delphine le chef qui à un zoom extra sur son joujou semi-professionnel. On accoste et on passe dans des herbes tellement tellement hautes qu'on ne se voit plus les uns les autres, seulement on aperçoit leur mouvement. Indiana Jones ! Puis on se retrouve dans les marécages : la maison de notre proie. C'est parti ! Ben c'était pas rassurant et certains avaient des trous dans les bottes, du coup la sensation pour eux fut limite angoissante. Moi ça va, pour une fois c'est pas sur moi que ça tombe. cool. C'est l'inverse, pour moi, suis