Quand je me réveille, je me dégage de mon cocon anti-froid, attrappe ma cuisse et regarde si la tique est devenue enlevable. Et la porte s'ouvre, oups pardon ! C'est mon colloc, hier je suis allée au lit tôt, je ne l'avais pas encore vue. Je lui dis qu'il peut rentrer, on discute c'est Javier un espagnol. On se donne rdv pour déjeuner à midi. Je triture la bestiole jusqu'à ce qu'elle cède et je crois bien que j'ai sa tête, youpi !
Vers 11h, je suis à la migration. J'attend pour avoir mon tampon d'autorisation d'entrée en Bolivie. Je dois aller faire une photocopie du passeport et de la déclaration de police. Le policier me demande depuis quand je suis là, je donne la date d'arrivée à La Paz, me suis trompée parce-qu'avanyt j'étais à Copacabana. Tampis.
À midi, je retrouve l'espagnol, qui d'ailleurs à habiter en France et parle très bien français. On va au marché pour manger et en chemin je m'achète enfin un sac car j'en ai plein les mains. On va dans le secteur poisson et le mec cuisine devant nous la trucha, servi avec des gros grains de maïs et des petites patates noires (dégoutantes). Il y avait aussi des petits poissons tout secs salés entiers, c'était étranges mais bons. Ensuite on va dans une cabane à fruits où l'on prend un jus de fruits au lait, humm.
Il est déjà 14h, on se ballade et je dis qu'il faut que je trouve des habits thermiques pour aller à Uyuni. On cherche partout, rien, chaque fois les personnes nous conseillent un endoit, et quand on arrive il n'y a que des pyjamas... Bref, il est 17h et je pars au terminal de bus pour connaître les horaires pour me sauver de La Paz et poursuivre ma route.
Trois quart d'heure plus tard, les infos en poche, je monte dans uncollectivos pour retourner sur le centre et le gars me dis que c'est dans l'autre sens. Flute, je redescend et prend un autre donc. Il roule, il monte, il monte, on est loin, c'est long, c'est pas normal. Ahhh, un péage ! Je sais où l'on est car on était passé par là pour aller à Tiwanacu. C'est une ville au-dessus, je suis sortie de La Paz. Il fait nuit et le quartier n'a pas l'air fait pour les touristes. Grrr, une fois de plus où je suis allée me fourrer ! Bon, je ne panique pas, même si un mec arrive pour me dire de venir avec lui... Alors là t'es gentil mais barre toi où j'hurle ! Je prend un collectivos dans l'autre sens, c'est bon. Vers 19h je suis de retour et une demie-heure plus tard, je vais me manger une salade terrible dans une pattisserie, suivie d'un bon gâteau forcément.
A 22h, je retrouve Javier à la Plaza del estudiante. On va dans le bar où il étais avec un groupe d'autres voyageurs qui font parti du réseau couch surfing. Il y avait une chinoise, une new-yorkaise, une allemande, une chilienne, un anglais... quel beau carnet d'adresse j'ai... je peux aller où je veux , hihi !
Vers 2h, on rentre.
Vers 11h, je suis à la migration. J'attend pour avoir mon tampon d'autorisation d'entrée en Bolivie. Je dois aller faire une photocopie du passeport et de la déclaration de police. Le policier me demande depuis quand je suis là, je donne la date d'arrivée à La Paz, me suis trompée parce-qu'avanyt j'étais à Copacabana. Tampis.
À midi, je retrouve l'espagnol, qui d'ailleurs à habiter en France et parle très bien français. On va au marché pour manger et en chemin je m'achète enfin un sac car j'en ai plein les mains. On va dans le secteur poisson et le mec cuisine devant nous la trucha, servi avec des gros grains de maïs et des petites patates noires (dégoutantes). Il y avait aussi des petits poissons tout secs salés entiers, c'était étranges mais bons. Ensuite on va dans une cabane à fruits où l'on prend un jus de fruits au lait, humm.
Il est déjà 14h, on se ballade et je dis qu'il faut que je trouve des habits thermiques pour aller à Uyuni. On cherche partout, rien, chaque fois les personnes nous conseillent un endoit, et quand on arrive il n'y a que des pyjamas... Bref, il est 17h et je pars au terminal de bus pour connaître les horaires pour me sauver de La Paz et poursuivre ma route.
Trois quart d'heure plus tard, les infos en poche, je monte dans uncollectivos pour retourner sur le centre et le gars me dis que c'est dans l'autre sens. Flute, je redescend et prend un autre donc. Il roule, il monte, il monte, on est loin, c'est long, c'est pas normal. Ahhh, un péage ! Je sais où l'on est car on était passé par là pour aller à Tiwanacu. C'est une ville au-dessus, je suis sortie de La Paz. Il fait nuit et le quartier n'a pas l'air fait pour les touristes. Grrr, une fois de plus où je suis allée me fourrer ! Bon, je ne panique pas, même si un mec arrive pour me dire de venir avec lui... Alors là t'es gentil mais barre toi où j'hurle ! Je prend un collectivos dans l'autre sens, c'est bon. Vers 19h je suis de retour et une demie-heure plus tard, je vais me manger une salade terrible dans une pattisserie, suivie d'un bon gâteau forcément.
A 22h, je retrouve Javier à la Plaza del estudiante. On va dans le bar où il étais avec un groupe d'autres voyageurs qui font parti du réseau couch surfing. Il y avait une chinoise, une new-yorkaise, une allemande, une chilienne, un anglais... quel beau carnet d'adresse j'ai... je peux aller où je veux , hihi !
Vers 2h, on rentre.
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